Présentation Benoît
Publié : 14 sept. 2018, 12:44
Bonjour,
Cela fait quelques années que j'ai créé mon auto-entreprise, depuis janvier 2015.
J'ai sauté le pas il y a 3 pour enfin travailler à mon propre compte !
Les débuts ont été assez simple car je cumulais une activité de salarié dans mon secteur d'activité qui est la santé et sécurité au travail. C'était pour moi l'occasion de pouvoir "arrondir" les fins de mois, tout en ne connaissant pas totalement la réalité du marché en sous traitance. Eh oui je débutais et je n'osais pas forcément imposer tel ou tel prix. De plus je travaillais en sous traitance avec une personne que je connaissais depuis quelques années, puisque c'est elle qui m'a formé dans certaine de mes compétences, notamment électrique et ma formation de formateur Sauveteur secouriste du travail. C'était donc une relation de confiance sur mes compétences et acquis.
Mais au bout d'un certain temps, l'envie de gagner plus à la journée me trottait dans le cerveau. Car à 250€/jour sans compter les charges, et vue le montant du matériel investi, travail sur les supports de cours et j'en passe, je trouvais ça très maigre comme entrée d'argent... J'ai donc chercher à prospecter par mes propres moyens avec mon envie de croître, mes connaissances dans mon domaine et une approche pragmatique du démarchage commerciale.
Comment vous dire que j'ai pris une douche froide ?!
En réalité j'ai été assez déçu de cette opération qui a duré quelques mois, et après plusieurs de tentatives infructueuses, je me suis résigné à travailler en sous-traitance, en me disant que de toute façon même si c'était moindre, l'argent rentrait tout de même. Mais en décembre 2016 j'ai décidé de quitter mon travail de salarié pour me consacrer uniquement à mon entreprise.
Et je peux vous certifier qu'il y a des moments, de long moments de solitude psychologique à se demander si on a pas fait un erreur car bien que ce que l'on propose soit quelque chose d'obligatoire pour les entreprises, ou que nous ayons toujours eu de bons retours de nos formations, ça ne décolle pas significativement.
Il faut avoir la volonté de ne rien lâcher, les nerfs solides car c'est l'ascenseur émotionnelle.
Voilà voilà.
Merci de m'avoir lu, pour ceux qui ont tenu jusqu'au bout, et c'est avec plaisir que j'échangerai avec vous.
Cordialement,
Benoît
Cela fait quelques années que j'ai créé mon auto-entreprise, depuis janvier 2015.
J'ai sauté le pas il y a 3 pour enfin travailler à mon propre compte !
Les débuts ont été assez simple car je cumulais une activité de salarié dans mon secteur d'activité qui est la santé et sécurité au travail. C'était pour moi l'occasion de pouvoir "arrondir" les fins de mois, tout en ne connaissant pas totalement la réalité du marché en sous traitance. Eh oui je débutais et je n'osais pas forcément imposer tel ou tel prix. De plus je travaillais en sous traitance avec une personne que je connaissais depuis quelques années, puisque c'est elle qui m'a formé dans certaine de mes compétences, notamment électrique et ma formation de formateur Sauveteur secouriste du travail. C'était donc une relation de confiance sur mes compétences et acquis.
Mais au bout d'un certain temps, l'envie de gagner plus à la journée me trottait dans le cerveau. Car à 250€/jour sans compter les charges, et vue le montant du matériel investi, travail sur les supports de cours et j'en passe, je trouvais ça très maigre comme entrée d'argent... J'ai donc chercher à prospecter par mes propres moyens avec mon envie de croître, mes connaissances dans mon domaine et une approche pragmatique du démarchage commerciale.
Comment vous dire que j'ai pris une douche froide ?!
En réalité j'ai été assez déçu de cette opération qui a duré quelques mois, et après plusieurs de tentatives infructueuses, je me suis résigné à travailler en sous-traitance, en me disant que de toute façon même si c'était moindre, l'argent rentrait tout de même. Mais en décembre 2016 j'ai décidé de quitter mon travail de salarié pour me consacrer uniquement à mon entreprise.
Et je peux vous certifier qu'il y a des moments, de long moments de solitude psychologique à se demander si on a pas fait un erreur car bien que ce que l'on propose soit quelque chose d'obligatoire pour les entreprises, ou que nous ayons toujours eu de bons retours de nos formations, ça ne décolle pas significativement.
Il faut avoir la volonté de ne rien lâcher, les nerfs solides car c'est l'ascenseur émotionnelle.
Voilà voilà.
Merci de m'avoir lu, pour ceux qui ont tenu jusqu'au bout, et c'est avec plaisir que j'échangerai avec vous.
Cordialement,
Benoît